Jetski

Pour préparer ma sortie...

  • Je me renseigne sur les interdictions de débarquement sur les îles et îlots, qui sont parfois des zones de nidification pour les oiseaux.
  • Pour la mise à l’eau, j’utilise les cales dédiées.

Une fois en mer...

Distance et zone d'approche d'un cétacé - © / Santuaire Pelagos
  • Près de la côte, pour la sécurité et pour le bruit, je respecte les distances et vitesses de navigation.
  • Au large, lorsque je croise des groupes de dauphins ou autres mammifères marins, je réduis ma vitesse et ne cherche pas à les croiser ou à les suivre. Hélice débrayée, je les laisse venir à moi s’ils le souhaitent.
  • Je passe à distance respectable des regroupements d’oiseaux qui se reposent en pleine eau ou sur les îlots, ainsi que des phoques qui se reposent sur les rochers.
  • C’est en observant que l’on apprend : si je constate des signes d’agitation (cris, envols, mise à l’eau) ; c’est que je suis trop proche.

  • Si je dois mouiller, j’évite les herbiers de zostères, zones fragiles.
  • Ils sont reconnaissables car formant des taches sombres au milieu de bancs de sable.
  • Je conserve mes déchets solides pour les ramener et les trier à terre.
Mouillage dans le sable entre les herbiers de zostères © Maxime Aubinet

De retour à terre et pour m’engager davantage…

  • Je suis les yeux de la science : je peux transmettre mes observations d’animaux à Obsenmer et ainsi faire avancer les connaissances sur les mammifères marins et les oiseaux.
  • Je limite ma consommation d’eau pour le rinçage du matériel. J’utilise préférentiellement des produits d’entretien et d’hygiène d’origine végétale et/ou éco-labellisés.
  • Pour limiter les risques de pollution et les risques pour la sécurité, je me débarrasse de mon matériel de signalement pyrotechnique (fusées de détresse) dans les points de collecte réservés à cet effet.
  • Pour la sécurité, les sites web des préfectures maritimes sont une source sûre.